samedi 28 septembre 2013

Creux Bleu - Villecomte (21)

Comme tous les ans, la municipalité de Villecomte nous demande un petit coup de main pour nettoyer et arracher les herbes dans et en aval du Creux Bleu.
Ont participé :
Pascal Levoyet et sa compagne Laurence, David Aupart, Alain Bressant sa fille et son amie Dominique François Pornet, Laurent Garnier, Cosimo Torre Adrien et Grégoire, Jean-Louis Mérelle, Robert Fourneaux, Philipe Clément


C’est avec plaisir que nous avons rendu service a la municipalité car nous n’avons jamais rencontré de difficulté pour venir plonger dans la résurgence mythique du réseau de la Combe aux Prêtres.

Cette année, nous n’avons pas procédé comme l’an passé car la végétation a poussé beaucoup plus rapidement que prévu et tout le travail que nous avions fait à été réduit à néant. Les grandes herbes ont entièrement repoussé et la mousse s’est abondamment développée sur les petites plantes qui poussent dans la vasque, les étouffant presque totalement. Lorsque nous essayons de les séparer nos constatons qu’il ne reste plus que les tiges, les feuilles ont presque entièrement disparues.





C’est très certainement dû au lessivage des terres agricoles lors des abondantes pluies de ce printemps qui ont emporté les différents engrais..
Nous commençons rapidement le travail et coupons à la base toutes ces herbes autour du bassin. L’eau se trouble très rapidement rendant la visibilité nulle. Les vannes du bief sont relevées pour que nous puissions travailler dans de meilleures conditions. L’eau baisse de plus de 40 centimètres et laisse apparaitre des remous à la surface de la vasque.


Ces remous ne disparaîtront pas durant toute la durée de notre travail prouvant bien l’importance du bassin d’alimentation.
Nous avons commencé par la vasque car les herbes arrachées partent directement dans la rivière par un chenal et la vanne ouverte.
En aval, vers le pont, Cosimo à disposé son manuscopique et son camion pour faciliter le chargement.






Cette fois ci, nous ne ferons qu’un chenal d’environ 1 à 2 mètres de large pour créer un courant susceptible de désenvaser le bief.
A 14h le travail est terminé et nous pouvons enfin remonter profiter de la chaleur de cette fin septembre .
Une fois de plus nous nous retrouvons sous le petit auvent où un « frugal » repas nous attend.

Après cette collation bien méritée, nous repartons nous immerger dans la vasque.
Pour certains comme Philipe ce sera sa première incursion dans la salle à – 10 mètres. Pour d’autres ce sera leur baptême de plongée et les derniers s’acharneront une fois de plus en vain sur une dalle qui gène quelque peu la progression.


La prochaine fois nous nous y prendrons différemment et remonterons quelques sacs de galets.
Bien fatigués, nous achèverons cette journée relativement tôt.
Laurent

Combe au Prêtres - Francheville (21)

Présents :Participants : Thomas BINSSE, Béatrice BOULANGER,
Initiés : Thierry BINSSE, Jean-Louis THEURET "

Compte-rendu : " Message "

Après avoir essayé la spéléo, nous avons convié le papa de Thomas ainsi que Bibi (alias Jean-Louis) a venir vivre une expérience spéléologique. Invitation acceptée.
La date a donc été fixée au samedi 28 septembre, et comme à notre habitude, nous emmènerons nos deux initiés à la Combe aux Prêtres.
Le rendez-vous est fixé à 9 heures en bas de chez nous, avec croissants et café prêts dans la voiture. Nous sommes tous à l’heure, ce qui est de plus en plus habituel.
Après vingt minutes de trajet, nous voila arrivés sur le parking de la Combe. Le temps que ces messieurs se préparent, je pars équiper. Environ trois quart d’heures plus tard, je remonte pour aller chercher Bibi, Thierry et Thomas. Le grand puits est équipé en double pour gagner du temps autant à la descente qu’à la remontée. Je descends avec Bibi, en le contre-assurant, puis Thomas descend avec son père. Une fois tous les quatre en bas du puits, nous descendons vers la rivière. L’ambiance est bonne enfant, détendue bien que Thierry pense déjà à la remontée. Thomas est en tête, souvent avec Bibi, je ferme la marche, Thierry m’attend. Nous prenons le temps de nous balader, de faire des photos, d’expliquer ce que sont les fistuleuses, la formation des cavités. Bref, nous partageons notre passion pour la spéléo avec deux personnes que nous apprécions et qui semble prendre du plaisir à voir ce que cache le milieu souterrain.
Nous gagnons la cascade sur les coups des 13 heures, objectif de la sortie. Nous faisons une petite pause restauration, entre barre de céréales, twix, pâte d’amande. Ensuite, nous reprenons la route, direction la sortie. Thierry et Bibi cherche à se cacher, puis doivent nous ramener à la base des puits, enfin Thomas et moi partons en courant pour nous cacher… Mes bottes m’ont trahie, et nous reprenons tous ensemble la route.
Nous arrivons au bas des puits, Thierry et Thomas remontent les premiers, puis Bibi et moi. Thierry n’est pas très rassuré, cela se ressent au passage de la dév ou il demande à Thomas de la remettre en place, pressé d’arriver sur la margelle en haut du puits. Ensuite Bibi s’élance, puis moi, et je déséquipe. Nous sommes dehors sur les coups des 15 heures, ou nous prenons un vrai repas.
La journée s’est bien passée, nous n’avons pas eu trop froid, ni même trop de temps d’attente entre les descentes, les remontées.
Thierry et Bibi ont été étonnés, surpris et plutôt agréablement surpris des trésors qui se cache sous nos pieds.

Le seul bémol de cette sortie, est la visite de deux personnes sur le parking, dont le visage n’était pas spécialement avenant, en train de  roder autour des véhicules. Nous sommes certainement ressortis à temps avant que les voitures ne soient visitées.
Donc attention à vos véhicules à l’avenir sur le parking de la combe !



Béatrice

samedi 21 septembre 2013

Réseau du Neuvon - Plombière les Dijon (21)

Ré équipement des verticales de la PDE.

Balisage de la galerie de l’ours.

Cosimo TORRE, Jean-Louis MERELLE, Laurent GARNIER.

Depuis le début de l’été la PDE est équipée en fixe.
Ca fait donc bien trop longtemps que le matériel est en place.Nous avons donc décidé d’aller changer les équipements et par la même occasion de faire avancer le dossier de la paléontologie en balisant la Galerie de l’Ours pour savoir à qui appartient la parcelle de surface à la verticale du gisement. Heureusement elle se situe sur les terres de la Pérouse, les fouilles paléontologiques pourront donc continuer sans problème.




Il était grandement temps de ré-équiper : les mousquetons étant tous oxydés, nous avons eu du mal pour certains à les ouvrir.
Les cordes étaient particulièrement sales. Donc, l'intégralité du matériel à été remonté. Il y avait plus de 300 mètres de cordes:
cordes d’équipement plus cordes destinées au brochage. Désormais, Il manque une corde de 30m et les agrès qui vont avec dans le P 20 du regard de Benj à la Salle Thomats.

Les cordes sont propres au local, tous les mousquetons sont à la maison pour marquage.

A notre prochaine incursion, nous changerons tous les mousquetons alu pour des maillons inox.
En attendant les 45 minutes de balisage, nous sommes allés voir le fond de la Salle de la Pérouse qui est décidément bien bouchée sans courant d’air apparent Ce sera une désobstruction pour les générations futures

Malgré tout, la zone est particulièrement esthétique.






Laurent

Réseau du Chaland - Arbecey (70)


Présents:

François Pornet, Pascal Levoyet, Guillaume Drescher, Bastien Dupin, Robert Fourneaux, David Aupart, Jean-François Decorse.

Rendez-vous à 10 h devant l'église, tout le monde est déjà présent, l'entrée est déjà repérée, le temps de boire un petit café et nous voilà partis.

Equipement de la descente avec un bout d'échelle de 3 mètres, le reste se fait sur des échelles en fixe.






Nous nous retrouvons directement dans l'actif, le niveau d'eau n'est pas très élevé, la progression se fait très bien.(la néo n'est pas obligatoir)
Quelques photos plus tard, nous arrivons à "La Rivière furieuse", une petite barre et c'est reparti pour le "Bar-tabac". Quelle agréable surprise de découvrir une salle de cette ampleur, et la suite, et bien que le terrain soit extrêmement glissant, n'en reste pas moins époustouflante de beauté; des concrétions de partout dans une galerie très confortable (ce qui n'a rien à voir avec l'amont le Deujeau)






Nous décidons de nous arrêter au niveau de la galerie de l'anniversaire et de faire demi-tour.
Retour très rapide, malgré les nombreuses chutes, nous ressortons vers 16 heures, puis, une bonne collation sous un superbe soleil, quoi demander de mieux?

TPS: 4h

Jean-François