lundi 22 avril 2013

Gouffre de Nonceuil - Francheville (21)

Présents : RHINOLOPHES : Jean-François DUSZ(Gus), Rémy PATAILLE , Timothée ROUMEAS(Tim), Sébastien COUETTE, Pascal LEVOYET, Laurent GARNIER.
ASCO : Cosimo TORRE.
SSDB : Jean-Louis MERELLE.
INDIVIDUEL : Dominique GIRODET. "

Compte-rendu : Préparation du site en vue de la plongée du gouffre du Bois des Charmes

Après environ 1,5 Km de marche d’approche, Ils étaient déjà trois sur place lorsque je suis arrivé aux alentours de 12h pour nous mettre à table.
La convention que nous allons signer stipule bien que nous devons venir avec un minimum de véhicules pour ne pas surcharger le chemin dont on nous laisse généreusement l’accès en dehors des périodes de chasse.
Le portique pour le treuil était déjà en place.
L’après midi débute par la descente de Tim et Gus pour l’aménagement d’une plateforme afin que les plongeurs puissent se préparer dans de bonnes conditions.
Lorsque, Jean Louis arrive avec la balise pour les premiers essais en plongée, la presque totalité du matériel est descendu.
Je prends le chemin du retour vers 17h car ma journée ne fait que commencer.

Laurent

A la lecture de la topo dans le bouquin du SCD je peux dire maintenant que
notre expédition de lundi dernier était une réussite. Pourquoi ?
Non pas, parce que je n'ai pas pu déterminer la verticale de la balise
précisément, mais parce qu'au contraire je l'entendais encore alors que j'en
étais au moins 150 m voire 200 m ! Pourquoi encore une telle erreur ?

En fait j'ai été induit en erreur car certains m'ont dit (?) que le réseau
partait à l'est alors qu'en fait il partait véritablement plein nord au
départ.
Au départ de la recherche nous sommes partis moi et Sébastien dans le bois
plein nord parce que je l'entendais vraiment par là, mais comme je voyais le
reste de l'équipe suivre le chemin je me suis dit que je devais me tromper
peut être, alors j'ai pris aussi parallèle au chemin côté nord.
Malheureusement le signal a fini par diminuer et la logique de recherche
gonio c'est inversé sur ma localisation. Je t'expliquerai Sébastien....nous
étions sur la pente extérieure descendante de la pomme....Sébastien
comprendra !

Tout ça pour dire que le signal devait être suffisant pour une recherche
précise. J'aurai du moi même étudier la topo avant, c'est une légèreté de ma
part... mais c'est pas grave, au contraire, mieux vaut se tromper
maintenant que le jour J.
Je vais m'attabler maintenant à faire une topo de correspondance précise, et
l'on pourra discuter dessus.

Jean-Louis-Laurent

Pour moi 1 m d eau en plus beaucoup de courant au niveau du déversoir impossible d aller plus loin.
Pose de la balise à ce niveau.
Retour et découverte d ossements de rhinocéros ( trés certainement).
Plate-forme moquettes du bonheur pas de nettoyage de matériel.
Remontée au treuil des vacances.
Ok pour les affiches.

 Gus

Moi j'ai été quitte pour une petite frayeur à la remontée , la corde d'équipement avait été "attachée" sûrement pour les besoins de la descente du matos sur une vieille traverse pourrie qui heureusement n'était pas si pourrie que ça et une bonne heure et demi de nettoyage pour retirer toute la glaise que j'avais pris soin de répartir sur tout mon équipement.
Mais c'était bien sympa de découvrir un peu toute la logistique autour de la plongée et de bidouiller au fond.

Tim

Je voudrais vous faire comparer les 2 topos jointes, celle communiqué par Jean Louis, et celle suite au relevé sur le terrain hier vendredi 26 avril par Dominique et son Dowser, reporté sur carto exploreur, le point GPS 350 ou Dom trouve une immense salle, d'un diamètre d'environ 25 a 30mètres, ne correspond t'elle pas avec la salle de l'arrivée, ( en tenant compte des erreurs possibles de relevés en plongée et de la précision GPS) a noter que Dominique et moi même n'avions pas connaissance hier de la topo de Jean Louis.
Quant au Peuptu, mon relevé au GPS me le donne plus haut que sur la topo de Jean- Louis, pratiquement sur le même plan que la salle de l'arrivée.
A méditer!
PS: Jean Louis, aurais tu la possibilité de me joindre un agrandissement de ta topo, sans la joindre à Dominique.

Rémy

Je pars vers 13h sur Nonceuil, approfondir des relevés en surface notamment la position du Peuptu par rapport à la grande salle que Dominique trouve a la sommière, point 350 au GPS, je serai en Méhari en remontant le chemin allant au Peuptu.
Mardi pas dispo, nous serons à Marsannay garder notre petite fille.
A voir!
Dominique a ses 4 petits fils en garde la semaine prochaine, mais pourrais profiter si cela arrive, d'un bel après midi ensoleillé pour, avec sa petite famille crapahuter du coté de Nonceuil.

Rémy

Voici un nouveau relevé concernant la position du Peuptu, effectué dimanche tantôt, relevé métrique en référence à la route forestière et à la sommière Tabusse, d'ou une précision de 5m maxi.
Explication: le point 1 correspond a l'ancien relevé de la position du Peuptu, d'environ 20m plus haut que la réalité, a noté que le Peuptu se trouve décalé sur la gauche par rapport au tracé supposé du réseau en vert. Le point 2 correspond au même niveau sur un plan horizontal est ouest avec le Peuptu, la salle repérée par Dominique serait a 23m plus haut que le niveau du Peuptu.

Rémy

BOIS DES CHARMES
 28 Avril 2013.

RHINOLOPHES : Jean-Francois DUSZ  et son amie, Rémy PATAILLE.
SSDB : Jean-Louis MERELLE.
ASCO : Cosimo TORRE.
SOURCIER : Dominique GIRODET.

Le but de la journée était la visite impromptue du Peutu du Bois des Charmes.
Après visite détaillée de la cavité, il semblerait qu’il y ait deux endroits à désobstruer. 
L’extrême fond se déblaie parfaitement bien. L’amas de pierres n’est pas scellé ni englué d’argile, il suffirait de faire un bon soutènement avec les restes des glissières de la PDE et celles qui sont chez Rémy. Ensuite un treuil aménagé spécialement à cet effet fera l’affaire, et bien sûr la lucarne à mi-puits qu’il faut continuer à désobstruer.
D’après le récit de Cosimo"

"Laurent"

" + de photos "

samedi 20 avril 2013

Gouffre des Rochottes - Francheville (21)

Présents : Mathieu CLAERBOUT – Thomas BINSSE – Béatrice BOULANGER

Comme si nous n’en faisions pas assez avec les formations au club le soir en semaine, nous nous retrouvons aussi les week-ends pour aller grottoler sous terre…




Aujourd’hui, je dois équiper les Rochottes, en passant bien évidemment par la vire. Sinon ce n’est pas drôle.
Nous arrivons sur place en milieu de matinée. Pour une fois, nous sommes dans les temps que nous nous sommes fixés. (Il le faut bien puisque c’est moi qui équipe, et que pour l’instant, je ne suis pas très rapide…). Je me mets en place en haut du puits, j’équipe une main courante pour que mes acolytes puissent se longer et être en sécurité à mes côtés. Ma première corde est en place (j’apprends même à faire un nœud de tisserand) et je descends. J’équipe assez rapidement jusqu’au départ de la vire, ou là, ma consigne est d’attendre les garçons. Ils arrivent peu après, et me donnent quelques conseils que je suis, en bonne élève que je suis.





Me voila partie pour l’équipement de la vire. A leur grande surprise, (et à mon grand plaisir), je ne galère pas et surtout, je n’ai même pas d’appréhension pour équiper dans le vide comme ça. Je ne vous cache pas que leurs compliments m’ont rendu quelque peu fière 

Une fois la vire équipée, il ne me reste qu’à descendre et à les attendre au bas du P.60.
Puis je finis d’équiper tranquillement et nous arrivons juste au pied de la cascade. Nous prenons le temps de faire quelques photos (cf. ci après.) ou nous posons : Tom & moi, puis Mat. Ou vice versa. C’est loin tout ça…





Maintenant que nous avons la technique, je trouve que nos photos sont vraiment réussies…
Bien, une fois la pause photo faite, nous décidons d’aller plus loin pour nous restaurer… Nous remontons les blocs, puis avançons vers je ne sais plus quelle salle ? bref , nous devons nous faufiler dans un passage étroit pour arriver au lieu du pique-nique. Nous faisons une bonne pause pour nous restaurer, nous avons même droit à un petit café. Puis, une fois le repas avalé, nous décidons de rebrousser chemin. Là encore, c’est moi qui vais déséquiper. D’ailleurs, je me souviens bien de cette remontée… Juste avant de repartir, je décide de mettre de nouvelles piles dans ma lampe, et Mat me propose un jeu de piles rechargeables qu’il a à portée de main. J’accepte volontiers. Une fois mes piles remises dans mon casque nous y allons. Les mecs montent les premiers, je les suis dès que le dernier « libre » est jeté dans le vide.
Arrivée au milieu du grand puits, ma lumière vacille, clignote dangereusement. Quoi ? Je tomberai en panne de piles alors que je viens de les changer ? Au loin j’entends les garçons. Ils m’attendent. Je crie « Ohé Thomas ». Mais personne ne me répond. Je continue donc de remonter, en ayant baissé mon cran de lampe au plus faible niveau. A dix mètres sous eux, je crie de nouveau. Ils le font exprès de ne pas me répondre ? Je crie, je hurle même ! Puis enfin ! J’entends un : « qu’est ce qu’il y a Puce ». Des fois, je l’assommerai volontiers…  Je lui explique que je n’ai plus de lumière. Alors du coup, je finis ma remontée, éclairée par les deux loulous. J’arrive à la vire, je déséquipe le plus vite possible, puis tous les trois nous remontons vers l’étroiture puis vers la sortie.
Heure de sortie : 17 heures.




Béatrice

mercredi 17 avril 2013

Formation Intiateur - 17 avril 2013


Cadres : Mathieu CLAERBOUT – Thomas BINSSE
Aspirant : Béatrice BOULANGER


Puisque nous sommes sur une belle lancée de formation, autant ne pas s’arrêter en si bon chemin. Après notre week-end à la Balme avec Mathieu, nous décidons de nous organiser plusieurs séances d’entrainement.

La première à lieu le mercredi 17 avril 2013. On se retrouve pour nettoyer notre matériel (utilisé à la Grotte Favot) et ensuite, nous mettons quelques cordes dans les arbres.
Au programme : la révision du décrochement, la conversion et le passage de nœud.
Le plus galère, c’est quand même le décrochement. Bah oui, je n’ai pas beaucoup de force, et puis quand on connaît pas la technique sur le bout des doigts, ce n’est franchement pas évident. Bref, celle que je doit apprendre par cœur : le décrochement avec pédale-crollée. Nous enchainons les décrochements, une fois Mathieu joue la victime, une fois moi. Cela lui permet de bien réintégrer ce qu’il sait faire, puis moi de bien mémoriser les différentes étapes. La soirée s’achève, nous rentrons à nos maisons en ayant décidé de nous retrouver samedi pour faire les Rochottes tous les deux.

Seconde session de formation, lundi 22 avril 2013. Nous nous retrouvons au loft pour de nouveau laver le matos, puis nous entraîner. Nous sommes trois : Thomas, Mathieu et moi. Au programme ce soir, de nouveau les décrochements, puis le passage de nœud et la conversion. Je dois les maîtriser du bout des doigts. Ensuite, nous envisagerons de voir d’autres techniques. En toute fin de session, nous évoquons : la tyrolienne, les répartiteurs de charges et les palans.

Troisième session de formation : mercredi 24 avril 2013. J’avoue, je commence à être un peu fatiguée de tous les exercices que nous faisons en si peu de temps. Nous avons un bon enchaînement de formation. Ce soir, nous décidons de faire une tyrolienne. Après avoir mis en place deux cordes sur un arbre reculé de la cour (une corde pour le formateur, une autre pour moi), puis une troisième sur l’arbre qui recevra la tyro, je m’exécute. C’est Thomas qui me surveille. En une bonne heure, la tyrolienne est tendue, et nous jouons aux funambules en traversant sur la corde (bien évidemment nous sommes longés…). Nous finissons par redescendre sur terre, nous rangeons le matériel, lovons les cordes et buvons un petit coup. Tous ces exercices nous assoiffent !

La quatrième session d’entraînement se fait le lundi 29 avril 2013. Nous revoyons tout ce que nous avons vu jusqu’à présent et en plus, il faut que j’intègre comment faire un répartiteur de charge. Bref la soirée est comme d’habitude, agréable et formatrice.

Fin des formations pour le mois d’avril.
Béatrice.

dimanche 14 avril 2013

initiation à la radiésthésie 14 avril 2013

Présents : Laurent et Agnès GARNIER "

Compte-rendu : Après avoir passé l’après-midi à soigner mes abeilles, l’envie d’y retourner était trop grande. 
Nous avons donc repris les recherches, traversé la combe où il y a la marque d’une faille et remonté loin, plein nord comme je n’avais pas de topographie recalée,  je ne peux pas savoir exactement si je traverse ou pas la galerie de l’Enclume, mais je ne dois pas y être bien loin.
Si toutes ces données concordent, nous nous trouvons en présence d’une troisième rivière qui se situerai entre l’Oasis et le Neuvon .
  "

"Laurent"


samedi 13 avril 2013

initiation à la radiésthésie 13 avril 2013

Présents : Bruno GERVAIS, Laurent GARNIER "

Compte-rendu :  A l’aide de deux baguettes de cuivre,  nous sommes allés chercher l’aval  de la salle de la Pérouse et du Siphon jaune.
En revenant à la ferme, nous avons suivi l’amont du Siphon du Lagon.
Après avoir décrit et mis en pratique les conventions habituelles du départ de toutes recherches, nous sommes partis de la ferme à la recherche de cavités souterraines.
Le long du pâturage, nous avons trouvé quelques signes révélateurs de cavités qui impressionnent Bruno.
Arrivés au bout du champ, nous changeons de méthode en cherchant l’aval de la Galerie de l’Enclume. Lorsque nous la trouvons, nous la suivons jusqu’au bois puis dans le bois et plus loin encore. Entre la salle de la Pérouse et le bord de la combe Vossanveau, avant que la galerie ne traverse le chemin et la combe, nous trouvons un phénomène karstique bien marqué c’est visiblement une cassure de bord de plateau que nous pouvons suivre sur quelques dizaines de mètres.
Sur le chemin qui cours le long de la combe, nous trouvons la galerie dont l’entrée semble être bien comblée car une vingtaine de mètres plus en amont, nous la sentons beaucoup plus nettement.
Plus loin, toujours sur le chemin, en direction de Velars à une vingtaine de mètres de là, une autre galerie se dévoile plus nettement car il y coule de l’eau.
Après cette petite randonnée, nous remontons à la ferme en suivant cette fois ci l’Oasis vers son amont. Cette zone est difficilement pénétrable. Arrivés dans le champ, nous reprenons nos recherches derrière la combe qui descend au Neuvon et remontons le Lagon plein nord jusqu’au bord de la combe de la Fontenotte"

"Laurent"


vendredi 12 avril 2013

La Balme de Rencurel (38)

WEEK-END BALME
Du 12 au 14 avril 2013

Présents : Mathieu CLAERBOUT – Matthieu BOSSU – Thomas BINSSE – Béatrice BOULANGER
Objectifs : passer un bon week-end entre amis – faire de la spéléo et du canyon – formation à l’équipement et aux techniques de réchappe.

C’est toujours avec plaisir de prendre la route le vendredi soir pour se rendre dans le Vercors, à la Balme de Rencurel, notre point de chute préféré…
Avec Mathieu, nous partons sur le coup de , 18h30- 19h. Après une bonne journée de travail, y’a rien de mieux pour se détendre que quelques heures de route pour gagner la montagne…
Thomas & Matthieu étant en congés, ils ne nous rejoindront que le samedi en milieu de journée (après ils resteront une semaine dans le Vercors). Nous faisons la route sans embûche avec Mat, près de Lyon, il prend le volant (nous respectons les consignes de sécurité : une pause toutes les deux heures + changement de conducteur…). Ça m’arrange fortement car je ne suis pas fan de la conduite en montagne (trop de virages) et puis, nous arrivons avec la nuit et j’aime moyennement conduire de nuit.
Bref, arrivés à la Balme sur les coups de 21h30.
Ce soir, c’est Mat aux fourneaux. Il me prépare une spécialité créole (La Réunion ça vous gagne): un rougail saussices et franchement, c’est un délice.
La maison a du mal à se réchauffer. On discute jusque sur le coup des minuit, avant de gagner nos pénates pour aller roupiller.

Le lendemain, nous décidons de faire une petite sortie tranquille, nous optons pour la Grotte Favot. En plus, on se dit que pour faire quelques exercices nous serons en plein soleil (car il est bien présent) donc au top. Nous décollons sur le coup de 10h. La route est courte, la marche d’approche montante… En chemin, nous rencontrons un guide avec deux enfants. Nous les doublons et nous atteignons le porche de Favot en 20 minutes. Mathieu me propose de commencer par faire un tour à l’intérieur et ensuite, après le repas, nous ferons quelques exercices. J’adhère. Je suis très impressionnée par ce tube gigantesque, preuve historique qu’il y a des milliers d’années, l’eau passait par là. C’est vraiment une très belle entrée. J’équipe. Encore et toujours… D’ailleurs Mathieu me met la pression : nous avons perdu « Kevin »… 
Nous nous promenons dans la galerie de l’Ours, ou nous mangeons. Mat souhaite aller voir ce qu’il y a après, mais finalement, après avoir un peu galéré pour poser une plaquette (vengeance) nous décidons de rebrousser chemin pour aller sous le porche faire des décrochements. Il est environs 15h quand nous sortons de la grotte et que nous retrouvons le soleil. L’heure est venue d’apprendre à décrocher quelqu’un. Pas évident. Surtout quand le « maître » ne l’a plus fait depuis X temps et qu’il faille se replonger dans les bouquins… Enfin bref, nous passons un bon après midi. L’ambiance est détendue et bon enfant, comme toujours… Après une bonne heure de décrochement, nous décidons de nous faire un beau rappel de 50 m et de rentrer. Nous reprendrons les exercices à la maison. A la fin de notre rappel, qui trouvons nous ? Thomas et Mamat, enfin arrivés à destination. Nous rentrons tous à la maison, en les mettant au défi de se décrocher mutuellement… Défi relevé, forcément ! Ensuite, nous décidons de prendre l’apéro puis nous nous mettons à préparer le repas du soir. En même temps, nous envisageons sérieusement la sortie du lendemain. Ce que nous prévoyons de faire ? Le canyon du Ruisant. Une belle cascade de 130 m. Marche d’approche : 2 heures.
Mais pour l’heure, c’est le moment de passer une bonne soirée. Le repas est excellent, la musique qui l’accompagne est parfaite. Bref, c’est que du bonheur d’être ici, tous ensembles.

Nous allons nous coucher de « bonne heure » pour être en forme le lendemain. Levée : 08h30 pour un départ à 9h30. Arrivés sur le parking vers 10h. On ne s’équipe pas. On prend les kits sur le dos et en avant GUIGAMP C’est une marche d’approche interminable, dans un espèce de sentier qui n’en ait pas un. Bref, on marche, on marche, on marche. Une heure, puis deux, puis trois. On s’arrête on regarde la carte, puis on repart. On a faim, il fait chaud et on a oublié l’eau. Bravo ! Au bout d’un moment, on se dit qu’on est perdu. Pour ne rien arranger, Mat perd la carte IGN. On s’arrête et on décide de pique-niquer. On a déjà marché trois heures, nous devons reprendre la route ce soir pour retourner bosser dès le lendemain. Pour nous, il est plus raisonnable de rentrer. Notre cause étant acquise, nous sommes dépités mais nous rentrons. Au final, nous aurons fais une belle randonnée de cinq heures à la place d’un beau canyon de cinq heures…
Bref, ce n’est pas grave, nous savons que trois semaines plus tard il y aura le weekend club donc la cause n’est pas perdue…
Nous quittons la Balme tristement sur le coup de 19 h avec Mathieu. Le soleil est toujours là pour nous dire au revoir, et nous devons regagner Dijon.
Un dernier bisou aux deux loustiques qui sont en vacances et nous voila partis. Arrivés à Dijon vers 22 h, après nous être arrêtés pour pique-niquer sur une aire d’autoroute.

A bientôt pour de nouvelles aventures.

Béatrice.

samedi 6 avril 2013

Réservoir de Grosbois - Grosbois en Montagne (21)

Présents : " Franck, Anaïs, Pascal "

Compte-rendu : En ce samedi matin 6 avril à 9 heures, nous nous sommes donné rendez vous Franck, Anaïs et moi même au réservoir de Grosbois en montagne près de Sombernon.
Le soleil était légèrement voilé mais nous pressentions une belle éclaircie tout en nous réchauffant autour d’un café accompagné de croissants.
Nous nous équipons tranquillement tout en discutant matériel et technique. Nous décidons de plonger et de nous orienter au compas : exercice nécessaire et sans grand danger dans un milieu aquatique sans plafond. C’est Franck qui s’y colle le premier. Nous nous fixons un cap, en l’occurrence, un contrefort de la digue. Après  quelques minutes de palmage nous remontons vérifier notre direction qui s’avère peu éloignée de notre objectif ; Malgré la rencontre d une dizaine d’écrevisses et de quelques moules de belles tailles. Nous décidons de faire demi-tour ; la vase soulevée à l’aller nous met en condition de siphon, bon exercice ! Quand la profondeur devient trop faible nous pointons le bout de notre nez en surface en remarquant un léger décalage !
C’est a mon tour de prendre le compas et nous repartons dans la direction de la digue pour finir d’un commun accord de rebrousser chemin car le froid nous engourdi.il faut dire qu’au profondimetre la température oscille entre 5 et 6 degré …et nous avons réussi a trouve difficilement 9.5 m de profondeur lors des 50mn de plongée.
La sortie et le déshabillage s’effectue sous un climat qui s’est refroidi depuis notre départ, si, si…
Un vent glacial nous accueille et nous décidons de rentrer chacun chez soi manger notre casse croute.
Malgré la température basse nous décidons avec Franck de renouveler l ‘expérience car les exercices possibles à effectuer sont nombreux et Franck reconnaît que les réaliser en milieu naturel est plus bénéfique qu’en piscine: le froid, le matériel complet sur le dos, la vase qui  se soulève permettent de se rapprocher d’une ambiance siphon. "

"Pascal"